Moby Dick Herman Melville
Assoiffé d'aventures, Ishmaël prend le large. De tous les Préface de Jean Giono navires qui sillonnent les mers au XIXᵉ siècle, les baleiniers sont sans doute les plus redoutables : c'est sur l'un d'eux qu'Ishmaël s'embarque pour chasser ces léviathans et gagner l'océan. À bord du Péquod, il fait la rencontre du capitaine Achab, voué à la destruction d'un seul être : Moby Dick, la baleine blanche qui jadis emporta sa jambe. Rivé à un unique objet, Achab s'identifie peu à peu à la baleine, métamorphose qui n'épargne pas son corps : à la place de sa jambe mutilée trône désormais l'os d'un cétacé.Les considérations économiques et maritimes, comme les rêves de voyage d'Ishmaël, cèdent le pas devant l'obsession du marin pour l'effroyable animal. Entraîné par la haine obstinée de son capitaine, l'équipage voit son horizon progressivement réduit à la seule ombre blanche de Moby Dick. Derrière le roman d'aventures, Melville peint les tourments d'une haine passionnelle qui touche au plus brûlant des amours.
Georges-Olivier Reymond : Je ne sais pas si je le recommanderais, parce que j'aime la nature et avoir une lecture de gens dont le rêve c'est de tuer des baleines … J'ai un peu de mal, mais c'est une plongée dans une période de l’histoire. Et ça pour le coup c'est assez intéressant et surtout que j'ai découvert en lisant le livre qu'à un moment il se pose la question de "mais est-ce que les baleines vont disparaître un jour ?" Et avant de le lire je pensais que par ignorance l'être humain avait sur-chassé des baleines, en fait non c'est pas du tout par ignorance. On se rend compte que vraiment les chasseurs à la baleine, ils avaient bien conscience de taper dans les réserves.
Ce livre est recommandé par : Georges-Olivier Reymond
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