L'entreprise, une affaire de cœur Hubert Joly, Caroline Lambert
Loin de la poursuite effrénée du profit à court terme, il décrit comment les entreprises gagnent à mettre les collaborateurs au coeur d'un projet mobilisateur au service du bien commun. Il démontre comment elles peuvent ainsi satisfaire simultanément l'ensemble de leurs parties prenantes et obtenir des résultats extraordinaires.
Facile à énoncer, cette approche est en réalité difficile à mettre en oeuvre. Elle requiert de repenser fondamentalement notre vision du travail, notre définition de la nature et de la finalité de l'entreprise, la manière de mobiliser les hommes et les femmes qui y travaillent, et notre conception du leadership.
Dans ce livre, Hubert Joly apporte des illustrations très concrètes et des conseils pratiques tirés de son expérience et de sa propre transformation d'un pur produit de l'éducation française en un leader qui croit en la capacité de mobiliser la " magie humaine " au service du bien commun.
Jonathan Cherki : Un livre écrit par Hubert Joly, qui est l'ancien patron de Best Buy, produit type ordinateurs, téléphones aux États-Unis, qui était un des derniers des Mohicans à avoir survécu en face d'Amazon et qui a écrit toute une thèse, j'ai eu le plaisir de le rencontrer à quelques reprises, toute une thèse sur le fait d'avoir un sens commun entre les collaborateurs, les partenaires, les shareholders et sur le pouvoir de l'humain. En fait, finalement, l'humain est au début et à la fin de beaucoup d'histoires, il permet de comprendre quels sont les dysfonctionnements de l'entreprise, il permet de les résoudre, il est au milieu, il est à la fin du maillon de la chaîne et c'est quelque chose dont on a pu entendre parler à un moment donné, pas mal au Forum économique de Davos, cette notion de Stackholder Capitalism. Cette notion où finalement il faut qu'il y ait ce sens commun qui soit partagé de la même façon sur l'ensemble des différents interlocuteurs. Je l’ai offert à pas mal de nos collaborateurs.
Ce livre est recommandé par : Jonathan Cherki
Ce livre est mentionné dans :