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In violentia veritas Catherine Girard

Lorsqu’elle découvre à quatorze ans qu’on la surnomme « la fille de l’assassin », Catherine Girard interroge son père Henri Girard – plus connu sous son nom de plume, Georges Arnaud, auteur notamment du célèbre roman Le Salaire de la peur. L’horreur de ce que le vieil homme lui apprend plonge l’adolescente dans le déni. Un demi-siècle plus tard, dans un geste d’amour, elle se confronte à ce passé abyssal. Le matin du 24 octobre 1941, au château d’Escoire, le père d’Henri Girard, sa tante et leur servante sont retrouvés morts, atrocement massacrés à la serpe. Seul survivant, Henri est inculpé, emprisonné dix-neuf mois dans l’un des cachots les plus insalubres de France et promis à la guillotine. Il est finalement acquitté. L’énigme du triple assassinat d’Escoire, tant de fois revisitée, ne fut jamais élucidée. Dans ce magnifique récit littéraire d’investigation familiale, Catherine Girard nous offre enfin sa  vérité. D’une puissance exceptionnelle, In violentia veritas marque la naissance d’une écrivaine.

Ce livre est recommandé par : Augustin Trapenard

Ce livre est mentionné dans :

La rentrée littéraire - La grande librairie

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